À quoi ressemble le clitoris ?
Il est très important de savoir qu’embryologiquement, le clitoris a les mêmes structures que le pénis. « Il est souvent pensé que le clitoris est un organe relativement petit alors qu’il fait en réalité entre 9 et 11 cm avec 8 000 terminaisons nerveuses » précise Anna, fascinant !
Pourquoi parler du clitoris ?
Selon une dernière étude faite aux États-Unis, 75% des hommes ont eu des orgasmes pendant leurs relations au cours du dernier mois contre seulement 33% des femmes. En parler permet donc de réduire cet écart et de faire connaître cet organe à la fois aux femmes elles-mêmes mais aussi aux hommes.
Comment le stimuler ?
Le plaisir sexuel ! Voilà l’utilité de cet organe. Composé d’un gland, de deux piliers ainsi que de bulbes, il montre certaines ressemblances avec le pénis.
Il est donc possible de stimuler le clitoris à la fois en externe mais aussi en interne. Et oui, de quoi décupler le plaisir ! Néanmoins, la sensibilité dépend de chaque femme. Certaines sont plus sensibles à la stimulation du gland, d’autres du corps et certaines sont plus sensibles à la stimulation interne au niveau des bulbes avec la pénétration vaginale.
Qu’est-ce que le point G ?
C’est un endroit où l’on va avoir ’accès à l’entre-bulbes du clitoris, l’urètre e juste derrière. C’est donc une partie du clitoris où se e plein de choses et où sont concentrées beaucoup de terminaisons nerveuses.
Un jeu interne pour les femmes
Il est alors possible de se demander où se trouve le périnée dans tout ça. Eh bien, « le clitoris est enchâssé dans les muscles du périnée » nous explique Anna Roy. Il est donc important pour vous mesdames de bien muscler votre périnée pour plus de plaisir !
L’anorgasmie
Beaucoup de femmes n’arrivent pas à avoir d’orgasme. Certaines y sont insensibles, d’autres en souffrent, mais ce n’est pas une fatalité ! Beaucoup de choses peuvent expliquer cette situation. Des causes organiques comme l’incontinence, certains traitements, l’hypertension, le diabète… Dans ce cas, allez voir votre médecin, sage-femme. Il peut aussi s’agir de causes rationnelles ou psychologiques. Alors, si vous êtes anorgasmique, ne vous avouez pas vaincue !